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Tu me relances sur la définition de l’amour, la fois où elle paraissait sur mon blog : Est-ce que nous prenons celle-ci sous le même angle ou sous le même principe ?
J’y retourne après une explication tardive et je tombe sur ce passage de G. de Staël, Lettres de jeunesse, 1786, pourquoi ? :
« − L'habitude de vivre avec lui faisait que je ne prenais pas garde à ce qui se passait dans mon âme; mais depuis que je ne le vois plus, j'y ai trouvé comme un grand déchirement qui s'est fait au moment de la séparation. »
Je le prends comme une certaine espérance !
Est-ce parce que ma révolte est telle que, même lorsqu’il n’y en a plus trop, je préfère croire encore à l’amour ? Ou est-ce parce que je comprends le sens de l’amour qui nous concerne comme le syntagme usuel ? C'est-à-dire le troisième degré du mot « amour » encyclopédique ? Tous les sens du verbe aimer, complété de l’adverbe, intensité, qualité, durée…
La question est : arriverons-nous, tous les deux à faire abstraction de l’amour fou ?
SdH
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