• Equipe/contre équipe

    Rien qu'un univers déroutant, aussi loin soit-il je n'peux m'empêcher de glaner avec amour sur cette terre désolée, meurtrie, assassinée, violée de l'ingratitude des hommes et de la bétise, humaine soit-elle, je ne peux m'empêcher de préférer flotter dans l'espace intersidéral, d'un astre vers un autre, rebondissant nonchalament. Oui dans cette vie, au travail je me bats, et je me bats encore pour que les choses aillent mieux, pour que les choses changent, qu'elles soient plus "carré", (parce qu'il le faut pour que tout fonctionne correctement!) Oui c'est moi qui ouvre sa gueule quand ça va pas, qui réagit, qui prend les décisions, les autres (mon homonyme salarié) pour la plupart se tassent, se taisent, qu'ils n'osent ou qu'ils ne ressentent rien, l'un n'est pire que l'autre: ne dites rien bande de molasses, de lâches, infâmes pauvres serviteurs, pleurez bas, détestez-vous, restez sur vos abats, vos acquis, même ceux là vous ne faites que vous en contenter sans valoir. Mains dans les poches à regarder les autres, quelle attitude!! Quelle bassesse!! Quelle honte alors que vous ne savez pas tenir votre poste!!

     

    SdH


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    Le corps à l'est, l'esprit à l'ouest

     

    Combien de fois mon corps s'est épanoui? Combien de fois les effluves m'ont envahi? Combien de fois mon esprit est-il parti? S'est-il échappé, loin, à la recherche d'une sensation plus forte? Il ne s'agit pas de bloc ici, ni de géographie ni de territoire. Il s'agit d'harmonie. Trouver le méridien qui fera la balance, le méridien du corps et de l'esprit, celui du cœur et de la raison. On le trouve quand on veut. On me disait d'ouvrir les yeux car à côté de moi quelqu'un me tendait la main. C'est vrai qu'il n'était pas loin mais on s'occupe souvent trop des choses inutiles, ou moins utiles, en pensant qu'elles sont au contraire importantes et nécessaires à l'élan que l'on dirige et conduit vers l'équilibre de soi. Comment savoir quand on ne se trompe? Le "je t'aime moi non plus". Bel augure! Comment l'accepter de soi! Comment accepter l'incertitude devenue chronique? Sensation irritante de croire qu'on ne sait pas quoi choisir, qu'on aimerait, mais qu'on se complait misérablement en autre chose!? Qu'on s'entête à ne pas vouloir alors qu'on en veut à mort! Au tort de cette raison débile, automatique et irraisonnée, on saute au-dessus, on passe à côté des petits moments qui sont essentiels et qui batissent les grands!

    Mais voilà! Je devrais dire: Et voilà! J'ai trouvé la perle, j'en suis au début d'ébats de bas de soie, au bas de débats de bois, de joie, de tambours, d'amour (sans rhume) et certes d'amitié, et je ne parle pas par ouï-dire, et plus que de visu par sensation empruntée, par désir partagé, une première embarquée plus que positive, un émoi charnel ravi et rendu et, même si seulement quasi-comblé du fait d'une nuitée livresque d'ivresse et d'une malnutrition par mal-être récent, je parle d'une harmonie sincère et comblée, un corps à corps réjoui en rappel du possible bonheur, de bonnes heures de bonne heure ce matin là...

    Mon corps et mon esprit ont fait un saut main dans la main, un comme un accord et peut-être chanteront-ils en chorus à l'avenir...

     

    SdH 

     

     


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    ... et l'heure avait sonné, la nuit fut extravaganza, le show était terminé, les masques et les costumes rangés dans leur valise, ils s'en allaient dans une pénombre qui traînait sur la première aube de l'an 08. Je demandais s'ils ne se prêteraient pas à une session; Une session photo sous une lumière ambiante. On ne voulait pas de ça, ou bien si on en voulu, mais à la condition d'être à 4 pattes dans leur chambre plus loin dans cette direction et qu'eux me prennent en me photographiant. L'alternative ne m'allait pas non plus. J'en ris encore... mais l'humour hormis le mien s'envola. On me dit alors "rien a foutre de tes photos de merde". J'entendais alors les premiers foutre et merde de l'année mais ce n'est pas très intéressant, n'est ce pas! "Ne soyons pas si vulgaire" je répondais calme et joyeux. On continua sur nos routes, eux prenant la leur et moi la mienne. Je leur souhaitais encore une bonne et merveilleuse année, il en fut ainsi...sûrement.

    SdH


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