• Tout semble si parfait.
    Tout semble si parfait lorsque nous sommes.
    Lorsque nous sommes ensemble au milieu de la nuit.
    Et ce que je ne dis pas,
    Ce que je me garde sans préférence, par contemplation et personnelles émotions,
    Est, un intérieur rêvé,
    Désiré, emphasé,
    Empli de beau,
    Utopique, sincère,
    Et Fou,
    Fou d'empruntes, De désir et de frissons.
    Je vois tout cet amour,
    Solo,
    Et cet amour,
    Anonyme, aux murmures de certitude, m'inonde.
    Ô destin, cruel tu es! D'autres choses le sont plus encore.
    Mais,
    Je m'efface, je n'interviens pas, je me régale aux moments,
    Je pose, je vie,
    Je ressens et j'applaudis à cette grâce pénétrante,
    Seul,
    Innocent,
    L'extrême joie de notre rencontre.


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  • ... 

    Comme Horus, au-delà des vertiges, au-delà des voltiges
    J'accompagnerais la vie à travers le ciel.
    Et en chorus, lorsque je redescendrais dans le cirque sans frontières,
    Ô sincères, Ô affables qui me reconnaîtraient,
    Je chanterais le refrain de l'amour et du destin,
    Inséparable des communs mortels, amoureux et reconnaissables.
    Alors dans l'essaim de variantes aux pâmoisons inévitables,
    L'oracle m'offrirait momentanément sa force,
    Au seul but du partage, je sèmerais,
    En nitescence et vérité,
    Harmonie et Liberté !
    Amour et amitié !
    En toute réciprocité,
    Vivent et vivront en ces lieux.
    Vive l'amour!
    Vive l'amitié !
    Je me reconnais déjà.

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